L’année passée restera sans doute une année noire pour les victimes de l’amiante à qui le Fiva avait demandé de rembourser des indemnisations octroyées par une cour d’appel trois ans plus tôt et qu’elles croyaient de bonne foi pouvoir dépenser.
Les remises gracieuses décidées avec l’accord des ministres des affaires sociales et du budget ont permis de dénouer la situation.
Mais des dysfonctionnements majeurs ont persisté, altérant la qualité du service rendu aux victimes.
Un changement de directrice est intervenu le 10 mai 2013.
Nous espérons qu’il se traduira par une amélioration du fonctionnement du fonds.
Le Fiva doit absolument retrouver la rapidité et la simplicité conformes à ses missions d’indemnisation des victimes de l’amiante.
C’est ce qu’elles sont en droit d’attendre de lui. Et c’est dans ce sens qu’agiront l’Andeva et ses représentants.

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Article paru dans le bulletin de l’Andeva n°43 (septembre 2013)